Ce jeu de données propose un ensemble de statistiques sur les effectifs d'étudiants inscrits de 2006-07 à 2022-23 par établissement public sous tutelle du ministère en charge de l'Enseignement supérieur français : universités, universités de technologie, grands établissements, COMUE, écoles normales supérieures, écoles centrales, INSA, autres écoles d'ingénieurs...
Sauf mention contraire, les indicateurs
proposés dans ce jeu de données ne prennent pas en compte les doubles
inscriptions CPGE
Les effectifs d'étudiants inscrits en parallèle en IFSI (Instituts de formation en soins infirmiers) ne sont pas pris en compte dans les effectifs des établissements.
Les données sont tirées du système d'information sur le suivi de l'étudiant (SISE). Les inscriptions sont observées à la date du 15 janvier, sauf pour l’université de la Nouvelle-Calédonie qui dispose d’un délai supplémentaire pour prendre en compte le calendrier australe.
Chaque ligne de ce jeu de données fournit les statistiques d'un établissement pour une année universitaire.
Ce jeu décline unitairement un ensemble de variables sur l'étudiant (sexe, bac d'origine, âge au bac, attractivité nationale, attractivité internationale) et la formation qu'il suit principalement (cursus LMD, type de diplôme, diplôme, grande discipline, discipline et secteur disciplinaire).
Les données géographiques fournies dans ce jeu concernent le siège de l'établissement et non la localisation effective de la formation suivie par l'étudiant.
Des données croisées et plus détaillées sont disponibles dans le jeu de données "Effectifs d'étudiants inscrits dans les établissements publics sous tutelle du ministère en charge de l'Enseignement supérieur".
Cadre National des Formations et conventions EPSCP–CPGE : impacts sur les évolutions d’effectifs mesurées Deux dispositions règlementaires impactent les évolutions observées à partir de 2018-19 et créent des ruptures statistiques :
- Le nouveau Cadre National des Formations (CNF), mis en place pour les diplômes de Licence. Le CNF réduit considérablement le nombre d’intitulés de diplôme. Certains de ces intitulés sont devenus plus précis, conduisant à un classement par discipline plus aisé : c’est le cas des licences de sciences, moins fréquemment classées en « pluri-sciences », mais davantage en « sciences fondamentales et applications » ou en « sciences de la nature et de la vie ». À l’inverse, d’autres intitulés sont plus généraux, notamment dans les disciplines littéraires (Licence mention Humanités par exemple) et sont plus fréquemment classés en « pluri-lettres, langues, sciences humaines ». - La mise en place progressive de conventions entre les lycées possédant des classes préparatoires aux grandes écoles (CPGE) et les Établissements publics à caractère scientifique, culturel et professionnel (EPSCP), dont font partie les universités, augmente significativement le nombre d’inscriptions en licence LMD à partir de cette année, même si les doubles inscriptions étaient déjà possibles et effectives auparavant. Les inscriptions comptabilisées en université incluent ces doubles inscriptions. Ces deux évolutions impactent surtout les effectifs détaillés par discipline en L1, filière qui accueille la grande majorité des nouveaux entrants. L’impact sur les effectifs totaux est plus marginal. Les évolutions tenant compte des doubles inscriptions sont à périmètre réglementaire constant. |
En 2015-2016 les données 2014-15 de ces établissements ont été reconduits : Université de la Nouvelle Calédonie, ENS Cachan, ENS Rennes.
Pour en savoir plus sur ce jeu de données, consultez la documentation du jeu de données.